Avec La Sultane, André Manoukian explore ses racines arméniennes à travers son piano devenu sa mémoire intime, son héritage culturel, une langue de tendresse. Entouré des tablas indiens de Mosin Kawa, du violoncelle de Guillaume Latil et de la contrebasse de Gilles Coquard, il tisse un dialogue entre Orient et Occident. Chaque composition est une arabesque sonore, dessinant un horizon sans frontière.